Ninet’inferno par Thibault

Ninet’infernO

William Shakespeare / Roland Auzet / Pascal Greggory / Mathurin Bolze / Quatuor Debussy

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« Pascal Grégory est éblouissant !!! » Le p’tit théâtre «Grâce a sa gestuelle, Mathurin Bolze nous fait part de ses émotions sans lacher un mot du spectacle » Thibaltowski Eskofføn

 

Ils sont accompagnés sur scène par le Quatuor Debussy, déjà présent dans de nombreuses collaborations théâtrales dont le mémorable : « Boxe Boxe » de Mourad Merzouki.

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« Le quatuor toujours au top ! » Classico’ New

 

Disposition scénique : Lampe amovible, barrière, plateforme, chaises, tables…

Ninet' Inferno - Conception, Musique et mise en scène Roland AUZET - Diection Musicale : Steven SCHICK - Décor : GOURY -
Lumière : Bertrand REVEL -
Son : Martin ANTIPHON -
Costumes : Fabrice Ilia LEROY - Avec : 
Pascal GREGGORY - Mathurin BOLZE - Et l'Orchestra Simfonica de Barcelona i Nacional de Catalunya - Ville : Barcelone - Le 25 07 2015 - Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
«  Quel dommage que Pascale Gregorry débite son texte avec seulement quelques trop rares pauses ! Nous sommes alors un peu perdus par cette mer de paroles qui ne connaît pas de repos…» Raymond-Eugène, critique pour la nouvelle scène.

Avis de la critique :
J’ai aimé les thèmes abordés (l’homosexualité, la différence d’âge dans un couple) et je trouve qu’ils sont traités avec une puissance qui est générée autant par le texte que par la musique du Quatuor, et par la mise en scène. En effet, celle-ci est très soignée : des spots lumineux s’éclairent de façon tantôt violente, tantôt douce ; une multitude de chaises sont disposées sur le plateau (pouvant symboliser les spectateurs); et une plate forme imposante se balance aux grès de l’histoire, comme un radeau auquel se raccrochent souvent les personnages.
Certains «tableaux» sont très forts en émotion, comme la scène où le personnage âgé supplie sont compagnon de le tuer, car cette scène casse le faux rythme installé par la litanie incessante du vieil homme.
En parlant du rythme du spectacle, il faut noter que Pascale Gregorry débite son texte sans laisser au spectateur le temps d’assimiler tout ce qu’il dit, et cet effet est accentué par la densité de son texte (il provient quand même de sonnets de Shakespeare !). Nous sommes alors un peu perdus pars cette mer de parole qui ne connaît pas de repos…
Cela est le principal bémol que je trouve à cette pièce qui reste malgré cela une formidable collaboration d’art croisés.

Raymond-Eugène de Jenesaisoù, critique théâtral.

La Nouvelle Scène met un  ♥♥♥  à Ninet’InfernO