2ème film du PJR : The square

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Paysage du film – carré sémiotique

Écrit critique : The square

Thalia

Dans The square, de Ruben Ostlund, le personnage principal est Christian. A travers lui, beaucoup de questions sur notre société sont posées.

Christian est un conservateur de musée d’art contemporain à Stockholm. Il est riche, mais semble se soucier de la société et de l’humanité (quand il nourrit une sans abris ou encore quand il aide une jeune femme qui appelle à l’aide dans la rue…). Pourtant après le vol de son téléphone et après la campagne publicitaire de The square qu’il doit promouvoir, Christian se retrouve comme pris au piège dans un cercle vicieux.

A travers ce film et son personnage principal, nous pouvons nous interroger :

En qui pouvons-nous avoir confiance?

Le concept de The square est il utopique?

Où est la limite entre l’Homme et l’animalité?

Et cette dernière question est omniprésente dans le film, notamment lors de la performance de l’homme-singe Oleg. Dans cette scène, l’Homme se comporte comme un animal et le jeu est poussé à l’extrême. Que ce soit dans les cris et dans les gestes d’Oleg ou dans la violence dont font preuve les personnages à la fin de la scène, tout nous montre que la limite entre l’Homme et l’animal est fragile. Et cette question des frontières de l’humanité nous est également posée lors d’une scène dans la rue, sur une esplanade très fréquentée de Stockholm, où une femme, malgré des appels à l’aide déchirants, se retrouve ignorée de tous. Seul Christian et un autre homme (le complice du traquenard) viennent lui porter secours. Dans cette scène, on remarque que, comme dans la vraie vie, beaucoup de personnes baissent les yeux face au danger. Cette lâcheté est bien montrée à l’écran : une foule défile en ligne, sans interruption, au second plan. Christian seul, au premier plan,agit. Mais il se fait piéger…

Le metteur en scène, dans ce film, joue de l’exagération, notamment avec la scène de la performance. En effet, cette scène est très longue et se situe environ au milieu du film. Le silence, entrecoupé par les bruits bestiaux d’Oleg, sur un temps qui semble interminable, rend ce moment pesant et presque dérangeant. Pourtant cette scène semble capitale dans l’histoire, car c’est un moment frappant et qui montre aussi l’un des enjeux du film.

L’apparition des SDF, pendant seulement quelques secondes, à plusieurs moments dans le film, sans rapport parfois avec l’histoire contée, rend l’atmosphère générale du film pesante. Ces images, répétées, apparaissent à des moments inattendus et créent comme un sentiment de culpabilité chez le spectateur…

Ce film, par la longueur et l’exagération de certaines scènes, met le spectateur mal à l’aise et parvient, peut-être par ce moyen, à nous questionner sur les valeurs fondamentales de notre société.

The square, Ruben Östlund

Anaïs

The Square est une comédie dramatique de Ruben Östlund avec comme acteurs principaux Claes Bang (Christian), Elisabeth Moss (Anne) et Terry Notary (Oleg l’homme singe).

Christian est conservateur d’un musée d’art contemporain. Il est riche, il conduit une Tesla, il s’habille chic… Il est dans sa bulle comme tous ceux qui l’entourent dans Stockholm, mais des événements viennent bouleverser son quotidien, lorsqu’il se fait voler son téléphone portable en pleine rue dans une scène plutôt comique et étrange.

Christian est un personnage qui évolue. Son image et sa façon de penser changent au fur et à mesure que le film avance. Dans les premières séquences, on le voit comme un homme riche et important qui ne se préoccupe que de lui. Par exemple, on le voit se rendre au musée. Il traverse une rue passante remplie de monde où chacun regarde droit devant soi. Comme tous, Christian regarde son téléphone, fixé à son chemin jusqu’à ce qu’un cri d’appel au secours le tire de son cocon. Il regarde d’abord la scène, incrédule ; il semble un peu perdu et ne sait pas quoi faire, mais finalement, il perce sa bulle de confort pour aller aider la jeune femme en détresse.

Plus tard, Christian se rend avec ses deux filles dans un centre commercial, il porte les sacs de ses précédents achats ; il s’apprête à sortir lorsqu’il se rend compte qu’il a perdu ses filles de vue. Il commence à demander de l’aide aux autres personnes présentes dans le centre commercial mais personne ne daigne tourner la tête. Il voit alors un SDF qui demande des pièces assis devant la sortie du magasin, il va donc lui demander de garder ses sacs pour qu’il puisse aller chercher ses filles.

Enfin, à la dernière scène du film, Christian se rend chez l’enfant qu’il a mis en cause à la suite de la distribution des lettres de menace pour récupérer son téléphone dans un immeuble de la périphérie de Stockholm. Il veut s’excuser auprès de ce petit pour avoir choisi cette solution de facilité pour récupérer son téléphone plutôt que de se présenter devant les appartements pour demander des informations aux habitants de l’immeuble. Encore une fois, Christian perce sa bulle.

A travers ces différents extraits, on voit que le personnage de Christian évolue et sort de son cocon pour s’ouvrir au monde et prendre conscience des actes et comportements de la société suédoise actuelle.

Selon moi, le message principal du film est la critique de la société actuelle suédoise. En effet, on voit dans le film énormément de SDF et on s’interroge sur le rapport qu’ils ont avec le reste de la société. Tout cela semble être au cœur du film. On peut aussi faire un lien entre le message principal du film et l’évolution du personnage principal. Christian se rend compte que la société dans laquelle il vit est très égoïste tout comme lui, mais il finit par se reprendre en main et changer. Le film finit donc sur une note positive, on suppose donc qu’il y a un espoir que la société change.

J’ai eu énormément de mal à comprendre le film au début car beaucoup d’événements arrivent d’un coup sans qu’on s’y attende et le film est très long (deux heures et demie). Au final après avoir travaillé dessus, je pense que ce film est  intéressant avec un message fort et que l’évolution du personnage principal rend l’histoire plus vivante encore…

The Square, Ruben Östlund

Emma D.

Christian est conservateur d’un musée d’art contemporain. Ce personnage qui ne se pose pas de question au début est contraint au fur et à mesure du film de s’en poser. Il est en train de préparer sa prochaine exposition « The Square », qui est un carré dans le sol devant le musée incitant les visiteurs à se remettre en question sur leur actions quotidiennes, lorsqu’il se fait voler son porte-feuille et son portable. Il est contraint de régler ce problème qui le met en présence d’un petit garçon qui se dit accusé par lui, ce qui l’empêche de prêter assez attention à la campagne de promotion de l’exposition conçue par de jeunes communicants dont le seul intérêt est le buzz que va susciter la vidéo qu’ils ont réalisée. Le scandale déclenché plonge Christian dans une crise existentielle et donne une très mauvaise image de lui et du musée…

A de nombreuses reprises dans le film, on voit des plans qui forment toujours une forme de carré, c’est le symbole d’altruisme. On le voit quand la fille de Christian fait de la GRS dans un espace carré, ce que fait le rapprochement avec « The Square » et qui montre la solidarité entre les petites filles. On le voit aussi quand il regarde les escaliers, cela forme un carré en profondeur et on le voit aussi dans un tableau avec plusieurs carrés.

J’ai bien aimé le film bien que je l’ai trouvé un peu long. Il fait réfléchir sur la vie et sur les relations entre les différentes classes sociales. On constate que les personnes de la société aisée sont plutôt tolérantes envers ceux qui appartiennent aux mêmes classes sociales (exemple du monsieur qui a le syndrome de la Tourette) et ne respectent pas forcément les autres – comme le chef cuisinier au moment du cocktail au musée, ou tous les mendiants que l’on voit dans les rues.

The square

Carla

The square est un film dramatique réalisé par Ruben Oslund.

Ce film suédois raconte l’histoire d’un homme appelé Christian père de deux filles et conservateur d’un musée d’art moderne. Christian travaille dur pour un projet nommé « The square » : cette nouvelle exposition sera un carré situé devant le musée, un carré comme un espace de solidarité.

Suite au vol de son téléphone, Christian, avec l’aide d’un des collaborateurs du musée, dépose des lettres de menaces dans un immeuble où a été localisé son mobile, pour retrouver le coupable du vol.

A partir de ce moment-là, tout va changer pour Christian : un petit garçon vient lui réclamer justice pour les mensonges dont il l’accusé dans sa lettre anonyme ; stressé et angoissé par le garçon, il ne prête aucune attention aux communicants qui réalisent un spot publicitaire pour l’exposition très violent, qui suscite une telle polémique dans le pays que Christian est obligé de démissionner…

Ce film montre bien qu’en Suède, les personnes ne sont pas aussi solidaires entres elles qu’elles veulent bien le dire. Les différentes classes sociale sont vraiment montrées dans ce film : il y a une fracture entre les mendiants qui sont assis par terre, à genoux,et Christian et toutes les personnes qu’il côtoie dans son milieu qui ont l’argent et le pouvoir.

On sent bien l’arrogance de ceux qui écoutent attentivement Christian quand il fait son discours au musée et qui ne prêtent plus aucune attention au discours du cuisinier.

C’est ce que dénonce le réalisateur dans ce film.

Emma J

C’est l’histoire d’un conservateur de musée connu à Stockolm car il dirige un musée d’art contemporain,

On suit ses aventures pour découvrir les travers de la société par rapport aux différents milieux sociaux en Suède, la scène qui déclencha la plupart des éléments est le vol de son portable lorsque il essaie d’aider une femme qui demande de l’aide, mais ceci n’était qu’un stratagème pour lui voler ses papiers et son téléphone.

Il se lance dans des recherches avec l’aide de son assistant. Il fini par localiser son portable dans un immeuble de cité. Sur la route Christian ne se préoccupe pas de son style vestimentaire, son costume, et arrive là-bas pour déposer les lettres de menaces dans chacune des boîtes au lettres, on remarque qu’il a bien du mal à sortir de sa bulle de confort où il n’est pas confronté au danger. Son assistant et lui se passent d’ailleurs la « balle » pour savoir qui va oser sortir.

Le fait de déposer des lettres à tout l’immeuble qui est très grand est un fait très égoïste car il sait qu’il n ‘y a qu’une seule personne responsable mais dénonce tout le monde sans penser aux conséquences qui lui porteront préjudice plus tard avec l’arrivée du personnage du petit garçon. Ses parents le prennent pour un voleur et un menteur.

Le titre choisi est dû à un prototype d’œuvre artistique imaginer par le musée. Le concept était de rassembler de nombreuses personnes dans un carré pour rassembler plusieurs valeurs laissées de côtés telles que la solidarité, la fraternité dans les périodes de grand froid . Il confie la publicité de cette nouveauté à deux jeunes communicants qui créeront un « bad buzz » en mettant en scène une petite fille stéréotypée suédoise (blonde aux yeux bleus) habillé comme une sans-abri et abandonnée. Christian avait donné son accord sans se poser sur la question causant sa démission.

On voit à la fin du film qu’il essaie après tant d’erreurs d’aller s’excuser auprès du jeune garçon qui est au final sa « victime » accompagné de ses deux filles, on pourrait dire que c’est pour leur montrer le bon exemple…

Lucille

Le film The Square est réalisé par Ruben Ostlund. Ce film a pour thème principal les relations entre la classe sociale supérieure et les personnes en difficultés et comment ces personnes agissent les unes envers les autres, comment elles se respectent. Il met en avant les relations sociales dans la société suédoise.

Un exemple que l’on pourrait donner serait le moment où Christian, qui est le personnage principal de ce film, demande de l’aide autour de lui et la seule personne qui l’aide est quelqu’un qui devrait plutôt recevoir de l’aide au lieu que ce soit le contraire.

C’est un film qui nous présente le monde fascinant de l’art contemporain avec des prestations qui tournent parfois au malaise, autant pour les acteurs que pour nous les spectateurs.

Pour parler un peu plus du personnage principal, on pourrait le décrire comme quelqu’un d’assez étrange. C’est une personne centrée sur son travail, au point d’en délaisser un peu sa famille. Christian est plutôt quelqu’un de matérialiste. Malgré cela nous le voyons évoluer tout au long du film.

Quelques séquences de The Square montrent que celui-ci prend conscience de beaucoup de choses plus le film avance. On voit que vers la fin du film, le côté matérialiste laisse place à un esprit familial. On peut avoir une impression d’un avant et d’un après sur le comportement et aussi la façon de penser du personnage.

Même si le film peut sembler étrange, je trouve qu’il y a une grande part de réalité sur la société d’aujourd’hui.

Inès

« The Square » est un drame suédo-danois, c’est le deuxième film que nous sommes allés voir dans le cadre du prix Jean Renoir des lycéens. Le réalisateur, Ruben Östlund a gagné la Palme D’Or de Cannes pour ce long-métrage de deux heures et demie mélangeant comédie, satire et drame. En dehors des films classiques où le scénario est écrit dans le but de plaire à un maximum de personnes, « The Square » se démarque très distinctement, quitte à choquer.
Le film met en scène Christian, un conservateur de musée d’art contemporain en Suède, à Stockholm, qui propose une nouvelle exposition nommée « The Square », qui est « un sanctuaire de confiance et de bienveillance. En son sein, nous avons tous les mêmes droits et les mêmes devoirs », soit un carré dessiné au sol où règne confiance et altruisme.

Ruben Östlund met en place des plans longs, brutaux et stricts, un face à face entre une société privilégiée et une autre de personnes ne vivant de presque de rien. Il provoque, particulièrement dans la scène de la décision de la publicité de la future exposition du musée. Ce clip, très médiatique, très choquant, où une enfant explose au centre de l’œuvre a pour slogan « Jusqu’où faudra-t-il aller dans l’inhumanité pour réveiller l’humanité ? ». Par la suite, ce film publicitaire va troubler la société et créer le « buzz » au détriment du musée.
Le réalisateur se moque du monde des arts et des riches. Il s’engage contre les inégalités sociales. De manière puissante, insistante et gênante, il observe notre société tout entière avec son regard froid et plonge le spectateur dans une réflexion sur cette société.

Pour conclure l’histoire est très intéressante car elle nous fait nous remettre totalement en question sur la liberté d’expression ou encore l’égalité que prône la devise républicaine.

« The Square » fait partie des films indispensables à voir pour la riche réflexion qu’il suscite autour des préjugés et de la négligence.

 

Le billet de Manon

The Square est un film réalisé par Ruben Ostlund, qui est sorti en 2017.

Christian est le conservateur d’un musée d’art contemporain en Suède. Il est bien habillé, il parle bien, il a une Tesla et un appartement moderne. Donc on constate qu’il appartient à une classe aisée. Christian met du temps à sortir de sa bulle pour voir ce qui se passe autour de lui. Quand Christian se fait voler son téléphone dans la rue, il rentre en contact avec une personne venant d’un autre milieu qu’il ignorait avant, un enfant. L’enfant est l’élément déclencheur mais aussi révélateur pour Christian comme quand l’enfant lui dit qu’il est « le chaos ». Il prépare sa prochaine exposition, intitulée « The Square », autour d’une installation incitant les visiteurs à l’altruisme. L’agence de communication du musée lance une campagne surprenante pour cette exposition. Il s’agit d’une petite fille qui est le stéréotype d’une suédoise, blonde, les yeux bleus, la peau très claire, que l’on fait exploser au centre du carré. L’accueil ce ceux qui ont vu cette promotion est tout à fait négatif et plonge Christian dans une crise existentielle.

Dans le film, la situation du personnage met en évidence des questions de société. Il y a plusieurs dimensions de la critique sociale comme la relation avec les autres, la relation entre homme et femme ou encore l’argent.

Critique de Leslie

Dans ce film suédois, nous découvrons Christian, conservateur d’un musée d’art contemporain à Stockholm. Nous suivons son quotidien tumultueux à partir du moment ou il se fait voler son porte feuille dans la rue.

Cet événement sera le point de départ de plusieurs péripéties, il va le faire sortir de sa « zone de confort » et le faire évoluer autant professionnellement que personnellement.

Après ce vol, Christian se lance dans une «mission de vengeance» en compagnie d’un collaborateur. Il distribue des lettres de menaces à tout un immeuble d’un quartier défavorisé de Stockholm (lieu où il n’a pas l’habitude d’aller) afin de retrouver son voleur. Cet acte lui fait repousser ses limites et l’on peut découvrir un aspect de sa personnalité que l’on ne soupçonnait pas.

L’élément principal du film est le Square, un carré lumineux disposé au sol, devant le musée, dans le but de servir de refuge à ceux qui recherchent paix confiance et altruisme. Or cette installation est en contradiction avec les images  que nous renvoie ce film. Par exemple, au début du film il y a une scène où une jeune femme est poursuivie par un homme, elle est affolée et hurle mais cela ne semble pas perturber personne dans la rue (mis à part Christian, étonné lui-même de sa réaction). Il y a également beaucoup de scènes où l’on voit des sans abris, des mendiants ignorés de tous, ce qui renforce cette idée de contradiction avec le Square. Le réalisateur signe une charge contre la société suédoise.

The Square

Un carré au cœur d’une question existentielle.

Ce film qui mêle psychologie et humour nous laisse confus et plein de questions.

Christian, directeur d’un musée, s’occupe du bon déroulement de l’exposition nommé «  The Square », lieu où règne la confiance.

Dans sa vie tout se déroule pour le mieux jusqu’au jour où un malheureux incident lui tombe dessus. Se faisant voler dans la rue alors qu’il prête secours à une jeune femme qui se dit poursuivie, il décide avec la complicité de son assistant de se faire justice lui-même, ne sachant pas qu’il s’ embarquait dans un engrenage de péripéties.

Ce fameux carré se retrouve momentanément au centre de l’attention, physiquement ou spirituellement, faisant le lien entre la vie que mène Christian et son travail lié à l’art. Il va l’emmener à se remettre en question sur ses proches, sa carrière, son statut social et le rapport qu’il entretient avec les inconnus, qui sont omniprésents lors du film.

Le réalisateur passe par le biais de l’humour pour nous mettre mal à l’aise, nous laissant nous rendre compte de la simplicité avec laquelle nous abordons des sujets complexe. La scène avec la sans-abris, nous laisse nous remettre en question sur le rapport que nous entretenons avec autrui et le regarde que nous leur portons.

La comparaison entre les animaux et les humains qui se voit déjà présente au début du film est très bien résumé à l’intérieur comme à l’extérieur du cadre artistique touchant une majorité de personne, nous laissant un arrière goût d’amertume pour la société actuelle.

Le réalisateur joue avec le personnage de Christian en lui faisant vivre des aventures en dehors de son lieu de travail, mais toujours en rapport avec « THE SQUARE ». La phrase mythique alliant la civilisation moderne avec celle de la jungle qui se voyait au début du film, absurde et arriéré , va peu à peu se démarquer à cause de la répétition d’une situation, tournée de différentes manières.

Titre : The Square

Genre : Drame/Comedie

Réalisateur : Ruben Ostlund

Acteur principal : Claes Bang

Langues : Anglais/Suédois/Danois